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Certains opioïdes seront délivrés uniquement à l’hôpital
À partir de mars 2024, les analgésiques opioïdes à base de péthidine ou de piritramide ne pourront plus être délivrés qu’à l’hôpital. Ils ne seront donc plus disponibles en pharmacie publique, uniquement dans les pharmacies hospitalières. Cette mesure s'inscrit dans une politique plus large de grande prudence à l'égard de l’utilisation des opioïdes, ce type d'analgésiques pouvant entraîner une dépendance.

La collaboration intense entre l’INAMI, le SPF et l’AFMPS, concrétisée par une cohabitation et un Service Center Santé commun
En mars, nous emménagerons dans un nouveau bâtiment avec le SPF Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement, et avec l'Agence fédérale des médicaments et produits de santé (AFMPS).
Vous pouvez déjà nous joindre via un point de contact général, commun à l’INAMI, au SPF Santé publique, et à terme à l’AFMPS : le Service Center Santé.

Consultations médicales à distance : Un nouveau cadre de remboursement ce 1er août
Les honoraires et le remboursement des consultations médicales à distance ont désormais un nouveau cadre. Nous remboursons les consultations vidéo ou téléphoniques, sans nombre limite, et lorsqu’elles se déroulent auprès d’un médecin que le patient consultait déjà, d’un spécialiste vers lequel un autre médecin l’a orienté, ou encore d’un service de garde.
Nous voulons garder la plus-value du système de téléconsultation que nous avions initié au début de la pandémie de Covid-19, et désormais reconnu et apprécié. Comme un complément parfois opportun aux consultations physiques classiques, et avec une attention particulière à la qualité des soins aux patients.

COVID-19 : Une aide psychologique supplémentaire pour les indépendants
La santé mentale est une préoccupation sérieuse, et qui revêt une importance particulière dans le cadre de cette crise sanitaire et financière provoquée par la pandémie de COVID-19. Parmi les personnes présentant un risque élevé de détresse psychologique ou même de suicide, les travailleurs indépendants constituent un groupe à risque particulièrement sensible.
C'est pourquoi notre Comité de l’assurance a approuvé ce lundi une convention conclue avec une ASBL qui concrétisera une offre de soutien supplémentaire spécifiquement destinée aux travailleurs indépendants. Ceci à la demande du ministre Classes moyennes, des Indépendants, des PME et de l'Agriculture, et du ministre des Affaires sociales et de la Santé publique.
Vous êtes souvent en contact avec des travailleurs indépendants en difficulté ou vous êtes psychologue ou orthopédagogue clinicien ? Votre contribution est primordiale. Si vous souhaitez collaborer à ce projet, surveillez nos canaux de communication dans les semaines à venir pour obtenir toutes les informations concrètes.

COVID-19 - Coût du matériel de protection dans le cadre de la reprise des soins : pour l’INAMI, pas pour le patient
Pour soigner leurs patients dans des conditions les plus sûres possibles, les dispensateurs de soins qui travaillent en ambulatoire et en cabinet privé ont aujourd'hui, eux aussi, besoin de beaucoup plus d'équipements de protection.
Ce coût ne peut en aucun cas être supporté par les patients. Nous développons un système qui permette à l’assurance soins de santé d’intervenir dans le coût des mesures et du matériel de protection spécifique. De ce fait, aucun dispensateur de soins n’est autorisé à faire payer de « supplément corona » à son patient.
Ces 2 mesures complémentaires s’appliquent rétroactivement à partir du 4 mai, date de la reprise des soins « non essentiels ».

COVID-19 : estimation des soins non effectués dans les hôpitaux pendant les 1re, 2e et 3e vagues
Pour estimer l'impact de la COVID-19 sur les soins dispensés dans les hôpitaux, l’Unité Audit Hôpitaux (une collaboration entre l'INAMI, le SPF Santé publique et l’AFMPS) a réalisé régulièrement des audits à la demande du "Hospital & Transport Surge Capacity Committee". Les rapports se concentrent sur le retard accumulé dans les soins et sur le temps de rattrapage. Sur base de ces rapports, des points d'action peuvent être définis dans le futur.
Pour la période COVID-19 de mars 2020 à mai 2021 inclus, nous constatons des retards pendant les 1re, 2e et 3e vagues, et des mouvements de rattrapage entre les vagues avec un pic absolu en mars 2021.

COVID-19 : Impact sur le budget de notre Assurance soins de santé en 2021
Depuis la mi-mars 2020, la pandémie du coronavirus a impacté durement l'ensemble du secteur des soins de santé, provoquant d’importants glissements au niveau des remboursements des soins. Nous mesurons en continu cet impact sur le budget de l'assurance soins de santé.
Les résultats sont à présent disponibles pour l’année 2021. Voici comment notre assurance soins de santé s’est adaptée à cette situation sans précédent et pour assurer la continuité et la qualité des soins.

Attester des soins de plaie en tant qu’infirmier à domicile
En tant qu’infirmier à domicile, vous pouvez être amené à soigner différents types de plaies : brûlures au deuxième ou troisième degré, stomies, escarres, plaies de drainage, etc.
Votre nomenclature pour attester ces soins de plaies dans le cadre de l’assurance soins de santé (article 8) a changé depuis le 1er décembre 2022. L'objectif des changements est de rendre le suivi des soins plus efficace tout en assurant la qualité des soins au patient. Pour ça, nous avons revu la classification des soins de plaies et souligné la nécessité d’une coopération et d’une communication plus étroites entre vous et les médecins impliqués.

Les médicaments orphelins
Les médicaments dits orphelins sont destinés aux maladies rares.
La grande majorité d’entre eux sont déjà remboursés, totalement pour la plupart, par l’assurance soins de santé. Vu, d’une part leur prix et d’autre part la méconnaissance de ces pathologies, cette prise en charge financière par la solidarité se fait souvent sous certaines conditions, établies essentiellement sur base des données des études cliniques fournies par la firme pharmaceutique.
Pour certains de ces médicaments, un Collège de médecins aide le médecin-conseil de votre mutualité dans sa décision de remboursement. Ce collège est formé paritairement de médecins experts de la maladie concernée et de médecins-conseils siégeant au sein de notre Commission de remboursement des médicaments.

Bariatrie : un intervalle de 3 mois au moins entre la première consultation d’un chirurgien bariatrique et l’opération
Le caractère inutilement coûteux ou superflu des prestations des dispensateurs de soins peut être évalué sur base d'indicateurs de déviation manifeste des bonnes pratiques médicales, établis par le Conseil National de Promotion de la Qualité (CNPQ).
Le CNPQ a approuvé un indicateur soutenu par le KCE et le CEBAM, fixant un intervalle minimal de 3 mois à respecter entre la première consultation avec un chirurgien bariatrique et l’intervention chirurgicale.

IRM : indicateur pour éviter les suppléments d’urgence inappropriés lors de prestations non urgentes, en ambulatoire
Le caractère inutilement coûteux ou superflu des prestations des dispensateurs de soins peut être évalué sur base d'indicateurs de déviation manifeste des bonnes pratiques médicales, établis par le Conseil National de Promotion de la Qualité (CNPQ).
Le CNPQ a approuvé un indicateur pour éviter les suppléments d'honoraires d’urgence facturés à mauvais escient pour les IRM effectuées en ambulatoire pendant la nuit, le week-end ou un jour férié, mais qui ne sont pas urgentes.

Indicateur pour la méniscectomie arthroscopique chez les patients de plus de 50 ans
Le caractère inutilement coûteux ou superflu des prestations des dispensateurs de soins peut être évalué sur base d'indicateurs de déviation manifeste des bonnes pratiques médicales, établis par le Conseil National de Promotion de la Qualité (CNPQ).
Pour diminuer le recours inefficace à une méniscectomie arthroscopique chez les patients souffrant d'une maladie dégénérative du genou, le CNPQ a approuvé un indicateur.

Orthopédagogues cliniciens
L'assurance soins de santé intervient dans le prix de certaines prestations que vous dispensez en tant qu’orthopédagogue clinicien, si vous signez une convention INAMI avec un réseau de soins de santé mentale reconnu. Cette page rassemble les informations sur ces prestations, sur leurs tarifs et sur la façon de signer cette convention pour permettre à vos patients de payer leurs soins moins chers.

Psychologues cliniciens
Nous intervenons dans le prix de certaines prestations que vous réalisez comme psychologue clinicien. Cette page rassemble les informations utiles pour pouvoir exercer votre métier dans le cadre de l’assurance soins de santé (numéro INAMI, etc.), sur ces prestations, leurs tarifs, etc.

Prime « DMG débutant » pour les généralistes qui débutent en gérant leurs dossiers médicaux de façon électronique
Vous avez obtenu votre numéro INAMI de médecin généraliste à partir de 2021 ?
Vous pouvez recevoir notre prime unique « DMG débutant » pour la gestion électronique de vos dossiers médicaux. Elle viendra compléter, pour cette année-là, votre « prime de pratique intégrée ».