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Début 2019, nous avions envoyé un rapport d’activités individuel aux médecins généralistes actifs à propos de leur comportement prescripteur en 2016 dans le cadre de la médecine à l’acte, pour certains médicaments, la biologie clinique, l'imagerie médicale et les examens préopératoires.

De la même manière, nous avons réalisé un feed-back portant sur ces indicateurs, destiné aux Groupes locaux d’évaluation médicale (Glem). Ce feed-back pour les Glem est disponible sur cette page web sous forme de fichier Excel et de présentation PowerPoint.

Nous avons adressé un rapport aux médecins exerçant dans 17 spécialités médicales, à propos de leurs prescriptions pour certains médicaments en ambulatoire. Ce rapport se penche sur 5 classes de médicaments qui sont souvent prescrits aussi par des médecins généralistes : antibiotiques, antidépresseurs, inhibiteurs de la pompe à protons, anti-inflammatoires non stéroïdiens et anticholinergiques.

Le rapport repose sur des indicateurs de qualité établis pour les médicaments et pour les spécialités médicales. Les résultats se présentent selon ces 2 types d’indicateurs.

Avant une intervention chirurgicale, il est habituel de faire passer au patient toute une batterie d’examens, comme des analyses de sang et d’urine, un électrocardiogramme, une radiographie du thorax ou d’autres examens d’imagerie médicale. Ces examens sont censés détecter d’éventuels risques pour la santé du patient pendant ou après l’opération (risque opératoire). Mais ceux que l’on pratique sont-ils véritablement toujours nécessaires, notamment quand le patient ne présente aucun symptôme particulier ? Le Centre fédéral d’Expertise des Soins de santé (KCE) a mis 15 examens classiques sous la loupe pour déterminer ceux qui sont (ou pas) à recommander en routine en cas de chirurgie non urgente (à l’exception de la chirurgie cardiaque ou thoracique). Il a aussi développé un infographique et une application pour smartphones, tablettes et PC, qui vous pouvez télécharger gratuitement.

En août 2015, nous avons envoyé un rapport d’activité individuel aux médecins généralistes concernant leur pratique en 2013. Sur cette base, nous avons établi des feed-back (agrégats) par Glem pour les indicateurs liés à la prescription de médicaments.

Ce feed-back par Glem est consultable sur notre site web uniquement, nous ne l’envoyons pas par la poste.

Si vous êtes médecin généraliste, vous avez peut-être reçu en en août 2015 un rapport d’activité individuel concernant votre pratique.
Ce rapport reflète votre activité en 2013 en matière de prestations et de prescriptions  (médicaments, kinésithérapie, imagerie médicale, etc.). Nous avons élargi le chapitre sur les prescriptions des médicaments.

Le 24 mars 2015, les lauréats du Quality Award ont reçu leur prix de 5.000 EUR, lors d’une séance du Conseil national de promotion de la qualité (CNPQ)

Le Quality Award 2015 récompense un projet qui améliore la qualité des soins en médecine générale ou qui favorise la collaboration entre médecins généralistes et spécialistes.

Depuis longtemps déjà, la nécessité de prêter plus d’attention au bien-être et à la santé mentale des dispensateurs de soins est connue, étroitement liée à la qualité des soins dispensés aux patients.

La crise actuelle du coronavirus a mis clairement en avant l’importance du « Care Team Well-Being » (bien-être des dispensateurs de soins) comme un pilier du modèle dit « Quadruple aim » : soutenir la qualité de vie de la population, soutenir la qualité des soins et leur accès, utiliser au mieux les ressources disponibles… et soutenir la qualité de vie des professionnels.

Les dispensateurs de soins sont actuellement soumis à une forte pression. Et le résultat des enquêtes récentes menées auprès des médecins soulignent un besoin important en termes de support des pairs, d’encadrement et de soins autonomes.

Nous appuyons plusieurs initiatives par le biais de conventions conclues avec des organisations, dans un souci d’assistance structurelle et durable.

Les trajets de soins diabète de type 2 et insuffisance rénale chronique améliorent la prise en charge de ces maladies chroniques. En tant que médecin généraliste ou médecin spécialiste, vous percevez un honoraire forfaitaire annuel pour chaque patient ayant conclu un contrat trajet de soins avec vous.

En tant que médecin généraliste, vous aidez les patients en trajet de soins insuffisance rénale chronique, à mieux contrôler leur maladie. Que pouvez-vous (ou d’autres médecins ayant accès au dossier médical global du patient) prescrire spécifiquement pour ce trajet de soins ?

Dans le tableau ci-dessus, vous trouvez le nombre et les pourcentages d'adhésion et de refus à l'accord médico-mutualiste du 13 décembre 2010 (résultats définitifs).

Dans le tableau ci-dessus, vous trouvez le nombre et les pourcentages d'adhésion et de refus à l'accord médico-mutualiste du 21 décembre 2011 (résultats définitifs).

Dans le tableau ci-dessus, vous trouvez les pourcentages et le nombre d'adhésion et de refus à l'accord médico-mutualiste du 23 janvier 2013 (résultats définitifs).

Dans le tableau ci-dessus, vous trouvez les pourcentages et le nombre d'adhésion et de refus à l'accord médico-mutualiste du 22 décembre 2014 (résultats définitifs).

Dans le tableau ci-dessus, vous trouvez les pourcentages et le nombre d'adhésion et de refus à l'accord médico-mutualiste 2016-2017